mercredi 28 novembre 2007

le nouveau visage de la banlieue

Par Nene Ngandu

Le seuil de la pauvreté est devenue monnaie courante dans les banlieues aujourd'hui,,je prendrai l'exemple de la ville de Laval qui autrefois était une ville calme et approprie pour ceux qui voulaient fonder une famille et voila aujourd'hui tel n'est pas le cas, je citerai:<<>>, études réalisées par un groupe de travail qui œuvre dans la ville de laval.C'est pour vous dire que les visages de la banlieue est vraiment dépeint, car jadis la ville de laval était considérée comme une région favorisée au niveau socioéconomique.Le problème de transport est aussi un facteur très importants car vivre en banlieue nécessite une voiture et je ne pense pas que tout le monde a ce privilège.De nos jours accéder a la propriété dans la banlieue comme ce fut dans le temps avec le taux d'intérêt plus bas n'est plus possible ,prenons l' exemple de Monsieur x qui veut s'acheter une maison et si le taux d'intérêt s'emballaient comme aux états-unis, certains pourraient vivre des moments difficiles.Mais aujourd'hui, ceux qui ont choisis de vivre en banlieue sont heureux de leurs choix, mais pas moins de 80% d'entre eux envisagent rarement de s'installer dans la métropole contrairement à 65% de montréalais n'ont pas envie de s'établir en périphérie.<< Le sondage révèle aussi que 58 % des banlieusards travaillent en banlieue, et que le quart d’entre eux (24 %) ne se rendent pratiquement jamais à Montréal.
Reste que la grande majorité des banlieusards (96 %) et des Montréalais (91 %) estiment leur quartier sécuritaire. « La question de la sécurité n’en est pas une. C’est rassurant », dit la sociologue Annick Germain, professeure à l’INRS-Urbanisation. « Les banlieusards pensent souvent que la ville est dangereuse. Or, quand on habite sur place, on n’a pas cette perception-là», ajoute M. Shearmur>>.(source:www.quebecurbain.qc.ca). Les gens veulent de plus en plus vivre dans la banlieue et avoir une meilleure qualité de la vie tout en étant à promixité de la ville.


REFERENCES:
-LE JOURNAL LA PRESSE, OCTOMBRE 2007
-WWW.QUEBECURBAIN.QC.CA

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