mardi 27 novembre 2007

L'automobile dans nos villes

Par Joris Cotheune

La première chose que l’on peut constater avec l’arrivée de la voiture, c’est qu’elle permet a l’homme une nouvelle liberté de mobilité sur de grandes distances, contrairement a d’autres moyens plus limités en distance, comme la circulation a pied, les transports tirés par des animaux, ou les deux roues non-motorisés. Mais également, la voiture permet un détachement des transports qu’on pourrait qualifie de “canalisés”, dans d’autres termes les transports public en commun. Ce qui accompagne la voiture, c’est une immense organisation et planification d’infrastructure, pour permettre d’absorber cette énorme quantité d’automobiles.
Ces nouvelles infrastructures permettent une expansion des banlieues, et l’apparition du phénomène de suburbanisation. Maintenant que la population d’une ville peut faire de plus grand trajets, il s’installe loin des centres, loin des bureaux, pour pouvoir aller se réfugier dans la banlieue plus tranquille, plus calme. Donc désormais la croissance des banlieues ne se fera plus en étoile de mer, mais en agglutination étalée. Ce qui pour l’urbanisation des villes est une chose importante, car on se doit d’ anticiper ce phénomène de plus en plus. Construire une nouvelle autoroute ne permettra pas une meilleure fluidité de la circulation, mais l’apparition plus nombreuses de voitures, car plus on modernise et améliore les infrastructures, plus l’usage de la voiture deviens la solution la moins compliqué et la plus express. Mais ceci engendre à la longue la saturation de l’autoroute. Donc on repousse seulement le problème de quelques années. De plus la construction de ces autoroutes défavorisent les quartiers qu’elles traversent, dû au faîtes de la population sonore, du stress et de la qualité de l’air.À ce propos nous connaissons tous les problèmes écologique liés à la voiture. De plus on perd un espace considérable dans les villes avec tous les emplacements de parking que l’on peut trouver.
On peut se demander maintenant si continué sur la voie de la voiture est une bonne solution. Nous savons qu’aujourd’hui que beaucoup de villes se heurtent à des problèmes très complexes dû à la voiture, et que celles-ci tentent de supprimer cet objet, rentrer dans les moeurs, de leurs centres. Comme on peut le constater, par exemple, dans le centre ville de Strasbourg, entièrement voué aux tramway et aux piétons. Ceci est peut-être l’avenir à une échelle planétaire.

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